Composer comme au cinéma

Pas à pas grace au Beatmaking !

A propos

Aussi loin que ma mémoire me permet de remonter, la musique a toujours fait partie de ma vie. Elle m’a accompagné dans chaque étape de mon existence comme une fidèle amie.

Aujourd’hui encore, elle continue de me suivre partout où je vais. J’ai tenté à maintes reprises de m’en défaire, non pas par envie, mais par dépit. Être animé par une passion dévorante pour un domaine est une chose, être le seul de votre entourage à l’être en est une autre.

C’est dans ce dernier contexte que j’ai grandi. Cela provoque un sentiment d’oppression, vous ne savez pas comment décrire ce que vous ressentez pour ce que vous aimez et lorsque vous essayez, les gens vous trouvent étrange et tente de vous dissuader de continuer. Alors, vous vous isolez et dans le pire des cas, le mien, vous vous laissez convaincre.

Selon les règles de la passion

Avez-vous déjà connu ce sentiment ? Celui d’être pris aux tripes à l’idée même d’abandonner une activité pour toujours. Si oui, alors vous êtes face à votre passion et la fuir ne sert à rien.

La Joconde est l’expression la plus célèbre de la passion de Léonard de Vinci.

Cette passion vous accompagnera contre vents et marées et l’opinion des autres n’y changera rien. Elle s’accrochera. Elle fera le grand saut avec vous quand l’heure de rendre votre dernier souffle sera venue. Léonard de Vinci, le célèbre peintre Florentin, est un exemple de cette symbiose entre l’homme et la passion.

La vérité, c’est que je n’ai pas choisi d’aimer la musique, cela s’est fait naturellement. D’ailleurs, j’ai tendance à dire que c’est ma passion qui m’a choisi et non l’inverse. Alors plutôt que d’aller contre ma nature, j’ai choisi de me laisser guider par elle.

Ce blog, c’est ma manière de le faire consciemment. Et oui, la particularité d’une passion, c’est de vous faire agir de manière inconsciente. C’est pour cela qu’essayé de vous en débarrasser est inutile. Avec le recul, je me rends compte que ces dix dernières années, j’ai agi inconsciemment sous la direction de ma passion pour la musique.

Comment tout a commencé !

J’ai officiellement commencé à faire du beatmaking en 2010, et la raison en était simple.

À l’époque, je m’étais essayé au Rap (si vous souriez, c’est que vous aussi, vous l’avez fait. Ne mentez pas je vous vois 😉). Oui, j’ai tenté d’apprendre à maîtriser cette forme de poésie urbaine, sans grand succès.

Dans ma tentative d’être le prochain Tupac Shakur, je cherchais des instrus (c’est comme ça qu’on appelle la partie musicale d’un morceau hip-hop), mais je ne trouvais rien de bon. Je n’étais pas encore beatmaker, je ne savais pas jouer du piano et la seule année où j’ai fait du solfège, cela c’était soldé par un échec cuisant (j’en parlerais dans un autre article).

Pourtant, j’étais capable de classer les bons et les mauvais beats (en résumé, le mot anglais pour designer une instru). Bien que le répertoire du site virtual-beat soit conséquent, je ne trouvais pas mon bonheur, alors j’ai décidé de le faire moi-même. ET PAF, ça a fait de Chocapic !

C’est de cette façon que je me suis mis à composer ma propre musique. Quid du rap et d’une carrière à la Jay-Z ? Eh bien j’ai laissé tomber, devenir un ponte du beatmaking comme Dr.dre ou Scott Storch était devenu bien plus intéressant. 😉

Aller plus loin, toujours plus loin…

Mais comment en es-tu arrivé à la musique de film ? Excellente question, c’est le point que je vais aborder dans les prochaines lignes.

J’ai commencé à m’intéresser à la musique de film en 2013-2014, soit près de quatre ans après mes débuts dans la musique. Cette envie est née d’un besoin d’aller plus loin, d’explorer et de repousser les limites de ce que je pouvais faire.

J’adorais le cinéma et pour moi la musique de film, ou musique à l’image représentait l’étape supérieure. Encore aujourd’hui, je considère que composer cette dernière nécessite une compréhension et une maîtrise de tous les aspects de la musique.

Je ne me suis jamais lancé, car il fallait savoir jouer d’un instrument, être allé au conservatoire et avoir suivis une haute école spécialisée pour être compositeur de musique de film. C’est du moins ce que je pensais à cette époque.

Rien n’est moins vrai, particulièrement en 2020. Avec une bonne méthode d’apprentissage, suffisamment d’audace et de travail, je suis persuadé que composer des musiques de film est à la portée des plus passionnés.

Et pourquoi pas ?

Je m’appelle Adelin et Composer Comme Au Cinéma, c’est ma tentative d’apporter cette méthode d’apprentissage. Pour cela, je vais puiser dans l’expérience que j’ai acquise et utiliser  le beatmaking comme tremplin pour atteindre cet objectif.

Ce ne sera pas facile, disons-le clairement. Je n’ai pas la prétention de me proclamer expert du sujet. Je suis comme vous, je débute dans la musique à l’image en parfait novice. Évidemment, je pars avec un léger avantage, dont je compte bien vous faire profiter.

De cette façon nous apprendrons à composer comme au cinéma, pas à pas grâce au beatmaking.

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